Lisez et partagez cette tribune parue dans Libération ce vendredi 7 mars. Merci à Julie Laernoes et ses équipes.
Un projet gouvernemental néfaste : La réforme prévoit de réduire drastiquement le soutien aux projets photovoltaïques de moins de 500 kWc, freinant le développement de l’énergie solaire en France.
Un impact direct sur les collectivités locales et l’industrie française : Cette décision met en danger les projets locaux d’autonomie énergétique (écoles, hôpitaux) et fragilise un secteur créateur de 67 000 emplois et 14 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Une incohérence face à l’urgence climatique : Alors que la France peine à atteindre ses objectifs de neutralité carbone, affaiblir le solaire ralentit la décarbonation et augmente la dépendance aux énergies fossiles et importées.
Une absence totale de concertation : La réforme a été annoncée sans dialogue avec les collectivités, les professionnels du secteur ou les citoyens, ignorant les acteurs engagés dans la transition énergétique.
La liste des signataires :
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